L'un des pires fléaux des transports en commun (surtout sur les longues distances), ce sont les gamins ! Ces ******* d'enfants (comme le dit Paka), ça chiale, ça crie, ça court partout, presque le pire truc quand on doit passer plus de 2h dans le même wagon avec une de ces machines à brailler en vis-à-vis. Et l'attaque "yeux de cocker-trop mignon-gentil bout d'chou" ça fonctionne pas: c'est pas comme ça que vous réussirez à nous faire oublier combien vous êtes chiants.
A coté de ça, il y a les petits vieux. Des fois, on tombe sur la gentille mamie gâteau qui va avoir, comme son nom l'indique, une part de gâteau pour vous, des anecdotes et des histoires drôles qui en font une voisine sympa pour les longs trajets en TGV.
Et d'autres fois, c'est le drame, l'escalade, le morceau de savon sur le sol de la salle de bain, la peau de banane dans l'escalier... enfin bref, c'est la Katastrophe (jawohl, avec un grand K). Car ces petits vieux ont aussi l'habitude de se déplacer en bande (un peu comme un troupeau de gnous qui se sent soudé pour affronter le monde extérieur). Sur les 60 ou 80 places de son wagon, au moment ou on se rend compte que presque 40 ou 50 sont réservées par un club du 3ème âge qui part en goguette, il est déjà trop tard.
D'abord, près de 15 minutes d'installation au départ. Bah oui, forcément, à 80 ans passés, va soulever une valise pour la ranger au dessus des sièges. Et là, on pourrait presque me dire: "mais enfin, suffisait de les aider !". Et ben non ! Surtout parce qu'ils sont rentrés en troupeau dans le wagon; il faudrait en décaniller une bonne douzaine pour accéder au tas de valises. Et naturellement, c'est la même chose à l'arrivée; alors pour chopper une correspondance, quand il faut un quart d'heure pour sortir du wagon, c'est pas folichon. Et ça ne serait pas complet sans les répliques, lancées d'une voix chevrotante: "nan mais ma bonne dame, j'vais vous aider !" (tu parles, il est encore plus décati); "ahlala ben cette fois, on est coincés..."
Voilà, c'était juste une petit pétâge de câble pour bien démarrer ce week end (NB: oui, j'aurais dû publier ça samedi mais pas le net, et la flemme de chercher).
Moralité: euthanasions tous ces vieux, enfermons les quelques part mais ne les laissons pas commettre autant de nuisance sur la voie publique (et après on dit que c'est les jeunes qui dérangent...). Par pitié, qu'on les achève !
A coté de ça, il y a les petits vieux. Des fois, on tombe sur la gentille mamie gâteau qui va avoir, comme son nom l'indique, une part de gâteau pour vous, des anecdotes et des histoires drôles qui en font une voisine sympa pour les longs trajets en TGV.
Et d'autres fois, c'est le drame, l'escalade, le morceau de savon sur le sol de la salle de bain, la peau de banane dans l'escalier... enfin bref, c'est la Katastrophe (jawohl, avec un grand K). Car ces petits vieux ont aussi l'habitude de se déplacer en bande (un peu comme un troupeau de gnous qui se sent soudé pour affronter le monde extérieur). Sur les 60 ou 80 places de son wagon, au moment ou on se rend compte que presque 40 ou 50 sont réservées par un club du 3ème âge qui part en goguette, il est déjà trop tard.
D'abord, près de 15 minutes d'installation au départ. Bah oui, forcément, à 80 ans passés, va soulever une valise pour la ranger au dessus des sièges. Et là, on pourrait presque me dire: "mais enfin, suffisait de les aider !". Et ben non ! Surtout parce qu'ils sont rentrés en troupeau dans le wagon; il faudrait en décaniller une bonne douzaine pour accéder au tas de valises. Et naturellement, c'est la même chose à l'arrivée; alors pour chopper une correspondance, quand il faut un quart d'heure pour sortir du wagon, c'est pas folichon. Et ça ne serait pas complet sans les répliques, lancées d'une voix chevrotante: "nan mais ma bonne dame, j'vais vous aider !" (tu parles, il est encore plus décati); "ahlala ben cette fois, on est coincés..."
Voilà, c'était juste une petit pétâge de câble pour bien démarrer ce week end (NB: oui, j'aurais dû publier ça samedi mais pas le net, et la flemme de chercher).
Moralité: euthanasions tous ces vieux, enfermons les quelques part mais ne les laissons pas commettre autant de nuisance sur la voie publique (et après on dit que c'est les jeunes qui dérangent...). Par pitié, qu'on les achève !
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