mercredi 22 mai 2019

épisode 149 : Mais celui-ci est plus court

Pour garder notre thématique fétiche, que manquait-il à l'article précédent? Aller, un petit effort... Oui! Du Star Wars! Y en a qui suivent, c'est bien! Quand je me suis embringué dans l'épisode 148, je ne savais pas totalement où j'allais (ça se voit, j'y dis graisse), mais une chose était sûre, sur un sujet si sérieux, pas de place pour les starouarités habituelles. Les voici donc aujourd'hui.
J'ai encore en mémoire un extrait de Suck My Geek, ce documentaire de Canal+ fort sympathique sur les geeks. Sympathique quoiqu'un peu (beaucoup) daté avec l'évolution de ces dernières années, où tatie t'a acheté une console rétro mini pour Noël pendant que ton petit cousin te met une rouste sur Fortnite en matant le trailer de l'épisode XIVCXI de Star Wars. Le geek des années 90 ou début 2000, il n'est vraiment plus trop d'actualité...
Peu importe. Ce qui nous concerne, c'est la fantastique saga de maître George Lucas. Et pour ça, je ne suis pas vraiment certain que le public ait évolué... On parlait de la Prélogie, entièrement créée par Lucas, hérésie totale aux yeux des "fans" de la première heure. Oui je mets des guillemets parce que je commence vraiment à en avoir plein le cul de qualifier de fan des  haters débiles qui n'ont que changé de cible, passant de la Prélogie à la Postlogie. Je ne défend pas bec et ongle l'une ou l'autre, simplement je ne fais pas passer le réalisateur pour un dieu, qui tombe de son piédestal et déchaîne la haine de ses fidèles. Et je ne pars pas non plus avec un a priori du style "ça va être de la merde parce que c'est Jar Jar Abrams". Parce que là on serait pile dans un exemple de dissociation qu'il faudrait faire, pour juger chaque film sur ce qu'il est, pas juste sur le fait que c'est untel ou untel à la réalisation. Ce serait une grosse erreur...

Mais c'est insupportable, voilà que je digresse encore ! Les interviewés du documentaire, dégoûtés par la Prélogie, n'aimaient plus Star Wars même s'il étaient à l'origine des "fans". Comme si le fait d'avoir commis la Prélogie avait tellement pourri le niveau de George que ses anciennes œuvres ne méritaient même plus un visionnage. Encore un parfait exemple de trouducs qui se disent fans... 
Et encore des gens qui sacralisent un œuvre ou un auteur. Les mecs, c'est juste un film ! Et l'auteur, il a beau être barbu, créateur de l'univers (étendu), ce n'est que George, pas l'Éternel. Donc quand il fait quelque chose que vous n'aimez pas, et bien tant pis, il n'y a pas de dogme remis en cause!
Là, c'est le niveau d'association entre un créateur et ses œuvres divinement con. On adore ce qu'il fait, mais quand on ne l'aime plus, tout ce qu'il a fait se transforme en merde. 

Pour le coup, si je n'avais pas d'avis bien tranché à l'article précédent, là assez peu d'ambiguïté. D'ailleurs sinon je resterai calme et courtois. Mais je trouve tellement stupide qu'une œuvre ratée puisse changer le point de vue d'un spectateur sur une œuvre réussie. Ah oui, comme l'artiste a aussi fait de la merde, ben du coup, tout est raté. Eh bien, déjà, tout n'est pas forcément soit réussi du niveau chef-d'œuvre/20 soit raté tel un TPMP/20 (What the... ?! Google remet des majuscules par défaut au nom de cette émission...). Seuls les Siths ont un avis si tranché. Mais surtout, les artistes sont le plus souvent humains, et plus leur carrière est longue, plus la probabilité de ne pas contenter tout le monde augmente.
Et quand vient une œuvre médiocre, intrinsèquement ou simplement par rapport au reste, si c'est un tel affront pour le spectateur, celui-ci n'a qu'à l'ignorer ! À quel moment cela va diminuer le niveau d'une œuvre précédente ?

"George Lucas, the creative impulse" de Drew Struzan. Je vais finir par manquer d'illustrations de ce genre si je continue à parler de George Lucas...

samedi 18 mai 2019

épisode 148 : Cet article est beaucoup trop long

Aujourd'hui, quelques réflexions philosophiques de comptoir. Avant de commencer, un peu de musique, cet article ne s'annonçant pas aussi léger que d'habitude, détendons nous deux secondes :



Il y a quelque temps est sorti un documentaire sur le défunt roi de la pop. Bien sûr, je ne l'ai pas vu, n'ayant ni la télévision ni l'envie de regarder pendant 1h30 des témoins raconter les abus sexuels dont ils ont été victimes. Encore que... Ce n'est clairement pas le but de cet article et je n'ai pas envie de prendre parti mais il semble que ce documentaire soit uniquement à charge, ne présentant que des témoignages accablants et occultant tout ce qui pourrait contrebalancer ce point de vue. Après autant d'années, je ne pense pas qu'on puisse réellement faire un jour la lumière sur cette affaire mais quoi qu'il en soit, montrer un point de vue biaisé, sans laisser les deux parties montrer des arguments, ça ne me semble pas très honnête... Un peu comme si les créateurs du documentaire pensaient détenir la vérité et s'improvisent alors juge, témoin, jurés... Sans aucune preuve réelle, ni d'un côté ni de l'autre d'ailleurs. Avouons tout de même, si les deux personnes témoignant dans ce documentaire ne sont pas forcément à croire sur parole, le Roi de la Pop avait semble-t-il des comportements bien trop étranges avec nombres de jeunes enfants...

Mais ce n'est pas pour cela que j'ai pris le clavier. Cela m'a plutôt refait penser à une question que je trouve assez importante. Celle de la dissociation entre une personne et son œuvre. Suite au documentaire mentionné au dessus, certaines stations de radio ont décidé de déprogrammer la musique de Michael Jackson de leurs antennes. Actuellement ce genre de problématique se retrouve pour d'autres artistes accusés d'agressions diverses depuis la libération de la parole, notamment celle des femmes dans le cadre des différents mouvements déclenchés par la révélation de l'affaire Weinstein (je ne critique ce mouvement à aucun moment, ne me faites pas dire ce que je veux pas dire).

A ce sujet j'aimerai bien différencier les artistes considérés comme des criminels aux yeux de la loi de ceux qui restent dans la légalité, quitte à exprimer des idées controversées ou qui ne sont qu'accusés ou seulement pointés du doigt. 

Qu'ils soient vivants ou non, de nombreux artistes ont eu des idées ou des comportements considérés comme ignobles ou abjects. Mais si certaines de leurs œuvres, voire l'ensemble de leurs œuvres, ne reflètent pas ces soucis, pourquoi ne pas dissocier l'œuvre de son créateur. Louis-Ferdinand Céline, considéré comme un très grand écrivain, était aussi un antisémite notoire, bien trop proche des forces d'occupation allemandes pendant la seconde guerre mondiale... Cela doit-il pour autant jeter le discrédit et l'opprobre sur ses œuvres comme le Voyage au Bout de la Nuit ? Bien entendu, les pamphlets antisémites du monsieur sont dans une catégorie différente. S'ils ne sont pas réédités depuis 1945, il semblerait que ce soit dû à la propre volonté de Céline. Et en effet un texte véhiculant spécifiquement ce genre d'idée ne me semblerait pas très opportun à publier ; à moins de les publier commentés, pour la valeur historique du texte et non pour son contenu intrinsèque. Un peu à la manière de Mein Kampf.
Mais laissons de côté les élucubrations moustachues du petit autrichien. Le comportement d'une personne devrait-il baisser la qualité d'une œuvre créée par la dite personne ? Et si ses agissements ternissent fort logiquement sa réputation, doit-on pour autant censurer des œuvres qui ne seraient ni hors-la-loi ni même promotrices des agissements punis ?
Sans aller trop loin niveau indignité, j'apprécie certains acteurs comme Tom Cruise ou Will Smith pour leurs rôles, et leurs talents, et il ne me semble pas qu'apprécier leurs bons films fasse la promotion de la scientologie, qui ne me semble pas un mouvement très très Charlie... Alors oui, vous me direz à raison qu'aller voir leurs films remplit leurs poches et donc finance indirectement la secte. Mais pour autant, qu'ils soient membres d'une secte, d'une religion, d'une science... de ce que vous voulez n'influe pas leurs talents d'acteur ni la qualité du film que vous êtes en train de regarder.


Quand un artiste, ou une personne random, est accusée d'un crime, ou surtout quand cette personne en est reconnue coupable, forcément l'arsenal répressif entre en action, punissant, emprisonnant... Ce qui est logique. Et ce qui est logique aussi, c'est alors que la plupart de ses activités cesse pour le criminel, a fortiori des activités artistiques. Plus de temps d'antenne,  ni d'invitation sur les plateaux télé, plus de concert... Une conséquence normale. Pour un acteur, plus de tournage. Mais pour un écrivain, la problématique est différente. Rien n'empêche un prisonnier d'écrire, il lui suffit ensuite seulement de trouver un éditeur. Et nous ne parlons même pas des textes qui peuvent être auto-édités, ou publiés sur le net. Dans ce genre de cas, nous nous trouvons dans le cas le plus extrême: l'artiste est coupable, condamné... Difficile de trouver une autre situation où l'on aurait plus l'impression de financer une crapule.

Ceci dit, même dans un cas comme ça, si l'individu est en prison, il paye sa dette à la société. Et s'il sort, ne peut-il pas retrouver ses droits? Et alors reprendre son activité? Forcément, son image sera écornée. Mais est-ce vraiment très convenable d'interdire ou de censurer un artiste qui sort de prison? Avant de prendre comme exemple Bertrand Cantat, je tiens à signaler une fois encore que je pose ici des questions, dont je n'ai pas forcément les réponses, et qu'à aucun moment je ne me poserai en savant omniscient désireux d'imposer ses convictions (oui, je le ferais si on parlait de la terre plate). Le chanteur de Noir Désir, meurtrier de sa compagne Marie Trintignant, a purgé une peine de prison. Je peux comprendre sans aucun problème que tout ceci puisse sonner la fin de son groupe. Mais stopper complètement la carrière, où les tentatives de carrières, d'un individu sortant de prison, n'est-ce pas aussi annuler complètement toute valeur de réinsertion ou de rédemption (je ne cautionne pas trop la charge religieuse de ce dernier mot, c'est le seul qui me vienne sur le moment)? Bon, là, il me semble que je digresse un peu.

Revenons-en plus particulièrement au cas de la dissociation entre l'artiste et l'oeuvre.  Pour ce qui est de ne pas vouloir financer certaines personnes ça reste difficile dans notre monde actuel où il y a beaucoup (trop) d'intermédiaires qui se sucrent sur le dos des artistes ou des consommateurs (parce que ça devient salement mercantile l'art il me semble).
Tant qu'une oeuvre n'est que ce qu'elle est; pas de message caché cequevousvoulezphobe, ni d'appel à la haine contre qui que ce soit, peut-on la regarder sans savoir qui en est à l'origine? Peut-on la juger pour ce qu'elle est? Si un tableau ou un film, que vous trouvez beau, qui vous fait ressentir des émotions, ou même qui vous fait réfléchir par son contenu intrinsèque, s'avère ensuite être le fait de Jean-Damien Raciste,  cela ne change pas pour autant la qualité de ce que vous venez d'observer. Et si c'est le cas, n'est-ce pas dommage de ne plus pouvoir profiter de quelque chose qui vous avait semblé si réussi ?
Tant qu'on reste dans les règles de l'hygiène, du respect de l'animal et du consommateur, est-ce un souci de savoir que c'est Bob le rageux qui a concocté votre repas ? Ou un réfugié sans papier ? Ou qu'il y a dedans des épinards alors que vous détestez ça d'habitude? Je peux comprendre que oui, mais n'est-ce pas dommage ? Si le contenu de votre assiette vous plaisait, et que vous ne pouvez plus y toucher à cause de ceux qui y ont touché avant, c'est pour vous que c'est le plus dommage non ?

Après, il s'agit bien entendu des cas où l'œuvre ne véhicule pas le prosélytisme nauséabond de son auteur. Dans le cas de certains "artistes" ou créateurs aux idées bien marquées, on est rarement dans ce genre de cas où la dissociation est aisée ; l'œuvre pouvant être, par essence même, bien trop le reflet des idées du créateur. Je suis tombé il y a peu sur la chaîne Youtube de Analgénocide qui illustre plutôt bien ce dernier exemple. Intrigué, j'ai regardé quelques vidéos. Certaines avaient des arguments corrects mais quasi impossible d'en trouver sans haine plus ou moins dissimulée, voire ouvertement crachée à la gueule du spectateur. Et on retombe rapidement dans tous les travers que l'on voulait éviter, le bonhomme ne réussissant pas à argumenter objectivement. Mais peut-être est-ce lié ici au format : difficile alors de différencier l'artiste de l'œuvre quand celle-ci ne sert justement qu'à servir les propos politique de l'auteur. Notons que je continue à employer le mot "artiste" par volonté de rester objectif, même quand l'exemple cité ne le mérite pas (mais là c'est mon avis subjectif).

Et maintenant que j'y pense, dissocier l'œuvre de son auteur, ça pourrait fonctionner aussi pour éviter des discriminations. Vous avez aimé un film, ou une chanson, peu importe qui l'a écrit, ou qui l'a chantée. Laissons de côté des préjugés pour apprécier un film : c'est une femme qui a réalisé un film de super héros ? Jugeons le comme un film, n'y allons pas avec un a priori négatif.
Oui, je continue vachement de digresser. Et en plus, malheureusement, vu la répartition des minorités dans notre société actuelle, c'est bien trop idéaliste. Mon dieu. Enfin, non. Il me faut une interjection non religieuse. En prenant comme exemple les films de super-héros, on en arrive à parler des femmes, ou des noirs, ou des gays comme de minorités... Il y a un truc qui ne va pas. Plus de 10 ans du MCU avant de voir des rôles titres noirs ou féminins, Black Widow ne faisant que rouler des "mécaniques" sous son uniforme de cuir moulant si pratique (hum...) depuis Iron Man 1... Du coup là, dissociation ou non, mettre le doigt sur le fait qu'un film met une femme sous les projecteurs ou un afro-américain, c'est quand-même pas négligeable pour faire avancer la société vers plus d'égalité. Parce que oui, en ce moment, on n'en est clairement pas à la situation où l'on pourra réfléchir à une personne, en étant capable d'interchanger sans souci son sexe, sa couleur, ses préférences... sans influence aucune.
Bon. Recentrons nous un peu, sinon je n'arriverai jamais à finir cet article.

Tout ça pour en revenir à la question : doit-on dissocier une œuvre de son créateur ? Toutes ne peuvent pas être appréhendées sans se prendre des gros morceaux de propagande de leur créateur en pleine tronche. Mais pour celles qui le peuvent, doit-on les détruire quand leur créateur est en disgrâce ? Finalement, à qui appartient une œuvre ? Quand on se l'est appropriée, qu'on y a mis du vécu, en a-t-on quelque chose à faire de Bob le créateur, même si c'est un obscur connard des années 70?
Concernant le cas de Michael Jackson et du fait de savoir s'il faut censurer ses oeuvres, un article de Marianne qui m'a servi de catalyseur pose des questions intéressantes. Celles notamment de "la justice hors système judiciaire. Si on l'accepte, qu'est-ce qui empêchera, à l'avenir, une entreprise privée de supprimer arbitrairement tout ou partie de l’œuvre d'un artiste ?"

Sur toutes ces questions, j'ajoute seulement des petites choses comme certains rappeurs français, condamnés, ou qui appellent à la violence dans leurs textes, ou messieurs Woody Allen ou Roman Polanski, ce dernier évitant même la justice américaine pour détournement de mineure. Et d'ailleurs, en 2003, ce dernier réalisateur est nommé à l'Oscar du meilleur réalisateur pour Le Pianiste, près de 30 ans après les faits qui lui ont été reprochés, et alors qu'il est toujours considéré par Interpol comme un fugitif ne pouvant librement circuler qu'entre France, Suisse et Pologne...

samedi 11 mai 2019

épisode 147 : Keith Parkinson

Et revoilà un article sur un illustrateur. Au départ, je voulais parler de Petur Atli Antonsson, un artiste mi islandais mi français qui travaille en tant qu'illustrateur free-lance pour moult compagnies comme Disney (jetez un œil à son site; son blog....) mais bon, comme il précise bien sur son blog "All Images copyright don't use, just look", je me suis dit pour une fois que j'allais choisir quelqu'un d'autre. Oui, au final, on s'en fout, je n'en ferai aucun usage commercial, mais bon, je ne sais pas, dans l'humeur du moment, on va donc parler de quelqu'un d'autre.

Et ce quelqu'un d'autre, ce mois-ci, c'est Keith Parkinson. Vous le connaissez peut-être pour ses couvertures des livres de Terry Goodkind, sur le cycle de l'épée de Vérité. Mais il a aussi œuvré sur Magic, Les Royaumes Oubliés, D&D, DragonLance... Il est malheureusement décédé d'une leucémie bien trop jeune. Dans sa jeunesse il a fait un petit détour par la musique, jouant dans un groupe de Heavy Metal, avant d'être embauché par l'éditeur de D&D puis de se lancer dans l'illustration free-lance. Un petit clic sur l'une ou l'autre des illustrations vous enverra vers son site pour voir d'autres de ses créations.






lundi 6 mai 2019

épisode 146 : Qu'est-ce qu'on se poile...

Ahh un bon petit restaurant! Ça fait toujours plaisir, même s'il ne s'agit pas forcément de la cuisine d'un grand chef étoilé. Oui, les plats y sont peut-être un peu gras, mais bon, le gras c'est la vie non? Et puis, nous n'y allons pas non plus tous les jours. Une bonne entrée, un verre d'un excellent petit vin de derrière les fagots, un plat un peu rustique mais si savoureux même s'il tient un peu au corps et un bon dessert maison. Bon, ça y est, nous sommes bien calés, et il nous reste à peine une place pour un petit thé. D'ici qu'on l'ait choisi, profitons encore quelques instants de la saveur du dessert qui s'attarde dans notre palais.

Comment ça j'ai pris du poids?

Et puis, là, on nous propose une part supplémentaire d'un autre dessert. Pas vraiment original ni très différent de celui que nous venons de descendre goulûment. Un gage que allons sûrement l'apprécier. Mais est-ce vraiment raisonnable? Encore une bouchée et c'est certain, on va se sentir lourd toute la soirée. Une autre et on ne pourra plus manger ce genre de gâteau à la crème pendant au moins un mois. Et avec la dernière, c'est sûr, l'indigestion arrive. C'est dommage parce que ce second gâteau était plutôt savoureux, mais trop c'est trop, et la part de trop nous fait passer d'un moment posé, rassasié à un moment difficile, à mi chemin du lavabo, agressé par une remontée acide.

Quoi c'est article n'a aucun sens? Comment ça on s'en fout? Pourtant tout Internet ne parle que de ça, alors pourquoi pas moi? Ah oui, pardon, je parlais d'Avengers Endgame. Et je crois que c'est pile ce que je craignais. L'indigestion est là! Bon attention, ça va spoiler salement, mais au final, on s'en fout vu qu'il n'y a pas vraiment de surprise.


samedi 4 mai 2019

épisode 145 : May the Force be with him ...

Bonjour à toi, lecteur esseulé, aujourd'hui, c'est le Star Wars Day. Et aujourd'hui, depuis hier, Chewbacca n'est plus. Peter Mayhew est décédé, rejoignant Carrie Fisher et Kenny Baker parmi les étoiles, un autre de nos héros disparu bien avant son heure. Aujourd'hui, pas de discours, juste quelques photos.