épisode 44: Fous ta cagoule !!!!

Souvent, au retour des vacances d'hiver, on reconnaît qui est allé au ski aux marques de bronzages ou aux fractures multiples consécutives à diverses chutes. Comme d'aucuns le savent déjà, cette semaine, c'est mon baptême de ski alpin, dans les Alpes (bien sûr, logique quoi !). Et bien non, pas de fracture ou de bronzage pour moi. Pour le bronzage, la faute au temps: pas de mauvais temps mais pas non plus de grand soleil (et donc pas de cuisson d'Amibe sur les pistes). Quant aux fractures, c'est pourtant pas faute d'avoir essayé ! Les pistes rouges dès la première journée, ça offre quelques sensations fortes (pour le débutant que je suis) et la possibilité de se lancer dans la descente à tout berzingue sans avoir la moindre idée de comment s'arrêter en bas. Et le plus fun, c'est de faire plus peur aux autres qu'à soi même (forcément, ceux qui savent skier me prennent pour un dingue alors que je ne me rend pas forcément compte du danger; en fait ,je suis juste inconscient...). Et tout cela, pour maintenant parler de la mutation. Comme le dit le vieux (là, à ce moment, le Yann a cru que je parlais de lui) pote Xavier, "La mutation, c'est la clef de l'évolution". Oui, en effet, cet article n'avait pour but que de vous faire part de mon évolution. Quand on fout pas sa cagoule, on peut avoir des surprises de taille. Et comme je ne suis pas un montagnard ni un pro du ski, je vais skier en jeans, avec des gants de ville et sans rien sur la tête. En plus, avec des patinettes (des minis ski d'à peine 90 cm), les gens du coin m'ont vraiment pris pour un rigolo. Mais c'est beaucoup plus sympa et facile pour commencer. Et donc, pour en revenir à mon aspect physique, voici en gros ce que cela donne :

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plus bas

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encore plus bas

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on y est presque !

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Et voilà !! En plus, j'ai gardé cette coupe trois jours; d'ailleurs, à l'heure où j'écris cet article, j'ai toujours ces cheveux-là mais je ne pense pas les conserver pour retourner en cours (de toute façon, je n'ai pas besoin d'une grande crédibilité (que je n'ai jamais, même avec des cheveux normaux)). Mais c'est quand même la première fois où les gens me regardent autant dans la rue ...

comme ça on voit mieux : LA, ICI